v16_0394 - AUGUSTO, CAIO e LUCIO Denier
MONNAIES 16 (2002)
Prezzo di inizio : 110.00 €
Valutazione : 220.00 €
Prezzo realizzato : 110.00 €
Numero di offerte : 1
Offerta maxima : 155.00 €
Prezzo di inizio : 110.00 €
Valutazione : 220.00 €
Prezzo realizzato : 110.00 €
Numero di offerte : 1
Offerta maxima : 155.00 €
Tipo : Denier
Data: 2 AC. - AD. 12
Nome della officina / città: Gaule, Lugdunum, (Lyon)
Metallo : argento
Titolo in millesimi : + 900 ‰
Diametro : 19,5 mm
Asse di coniazione : 8 h.
Peso : 3,47 g.
Commenti sullo stato di conservazione:
Exemplaire sur un flan large à l’usure régulière avec un début de cassure de coin visible au droit au niveau du cou
N° nelle opere di riferimento :
Diritto
Titolatura diritto : CAESAR AVGVSTVS - DIVI F PATER PATRIAE.
Descrittivo diritto : Tête laurée d'Auguste à droite (O*).
Traduzione diritto : “Cæsar Augustus Divi Filius Pater Patriæ”, (César Auguste fils du divin Jules, père de la patrie).
Rovescio
Titolatura rovescio : C. L. CAESARES À L'EXERGUE/ AVGVSTI F COS DESIG PRIN[C IVVENT].
Descrittivo rovescio : Caius et Lucius Césars debout de face, vêtus de la toge, tenant chacun un bouclier rond et une haste ; simpulum à gauche, le lituus à droite.
Traduzione rovescio : "Caius et Lucius Cæsares/ Augusti filii consules designati Principes Iuventutis" (Caius et Lucius Césars, fils d'Auguste, consuls désignés, princes de la jeunesse).
Commento
Poids léger. C’est l’un des deniers les plus courants de l’atelier de Lyon. C’est aussi l’une des pièces qui se rencontre le plus souvent en Gaule. C’est encore l’un des deniers qui ont été le plus imités aussi bien dans les limites de l’Empire qu’en dehors du limes. Le denier représentant les deux petits-fils d’Auguste eut un succès considérable en Gaule. Nous devons modifier notre vision de la circulation monétaire entre la fin de la guerre des Gaules et la mort de Néron en 68 après J.-C. Monnaies gauloises en argent, en bronze et en potin circulèrent conjointement avec les monnaies romaines qui se répandirent largement en dehors de la Narbonnaise. Il faut évoquer le néologisme de circulation “romano-gauloise” plutôt que gallo-romaine.