v41_0464 - AUGUSTO, CAIO e LUCIO Denier
MONNAIES 41 (2009)
Prezzo di inizio : 175.00 €
Valutazione : 300.00 €
Prezzo realizzato : 175.00 €
Prezzo di inizio : 175.00 €
Valutazione : 300.00 €
Prezzo realizzato : 175.00 €
Tipo : Denier
Data: 2 AC. - AD. 12
Nome della officina / città: Lyon
Metallo : argento
Titolo in millesimi : 900 ‰
Diametro : 19 mm
Asse di coniazione : 12 h.
Peso : 3,85 g.
Commenti sullo stato di conservazione:
Exemplaire sur un flan très large et ovale, légèrement décentré sur la légende de droit, parfaitement centré au revers. Beau portrait bien venu à la frappe. Revers de joli style, parfois de frappe un peu faible. Belle patine de collection ancienne avec des reflets gris
N° nelle opere di riferimento :
Diritto
Titolatura diritto : CAESAR AVGVSTVS - DIVI F [PATER] PATRIAE.
Descrittivo diritto : Tête laurée d'Auguste à droite (O*).
Traduzione diritto : “Cæsar Augustus Divi Filius Pater Patriæ”, (César Auguste fils du divin Jules, père de la patrie).
Rovescio
Titolatura rovescio : C. L. CAESARES À L'EXERGUE/ AVGVSTI F COS DESIG PRINC IVVENT.
Descrittivo rovescio : Caius et Lucius Césars debout de face, vêtus de la toge, tenant chacun un bouclier rond et une haste ; entre eux, lituus à gauche, le simpulum à droite.
Traduzione rovescio : "Caius et Lucius Cæsares/ Augusti filii consules designati Principes Iuventutis" (Caius et Lucius Césars, fils d'Auguste, consuls désignés, princes de la jeunesse).
Commento
Rubans de type 2. C’est l’un des deniers les plus courants de l’atelier de Lyon. C’est aussi l’une des pièces qui se rencontre le plus souvent en Gaule. C’est encore l’un des deniers qui a été le plus imité aussi bien dans les limites de l’Empire qu’en dehors du limes. Le denier représentant les deux petits-fils d’Auguste eut un succès considérable en Gaule. Nous devons modifier notre vision de la circulation monétaire entre la fin de la guerre des Gaules et la mort de Néron en 68 après J.-C. Monnaies gauloises en argent, en bronze et en potin circulèrent conjointement avec les monnaies romaines qui se répandirent largement en dehors de la Narbonnaise. Il faut évoquer le néologisme de circulation “romano-gauloise” plutôt que gallo-romaine.