bpv_173780 - CARACALLA Tétradrachme syro-phénicien
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Articolo venduto sul nostro negozio
Prezzo : 120.00 €
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Tipo : Tétradrachme syro-phénicien
Data: 215-217
Nome della officina / città: Akko-Ptolemais, Phénicie
Metallo : billone
Diametro : 25 mm
Asse di coniazione : 11 h.
Peso : 12,49 g.
Grado di rarità : R1
Commenti sullo stato di conservazione:
Pas de franche usure mais un très gros problème de corrosion
N° nelle opere di riferimento :
Diritto
Descrittivo diritto : Tête laurée de Caracalla à droite, l’un des deux rubans de la couronne laurée descendant sur l’épaule (O*).
Legenda diritto : AUT K MA...ANTWNINOS .SEB. (Autokrator Kaisar Markos Aurhlios Antwneinos Sebastos)
Traduzione diritto : (L’empereur césar Marc Aurèle Antonin auguste).
Rovescio
Descrittivo rovescio : Aigle debout à gauche, les ailes déployées, la tête et la queue tournées à droite, couronne perlée dans le bec ; entre les pattes de l’aigle, Jupiter Héliopolitain de face, tenant un fouet dans une main et un foudre dans l’autre, à ses côtés des taureaux de face.
Legenda rovescio : DHMARC. EX. UPATOS TD. (Dhmarcikhs Exousias Upato to D)
Traduzione rovescio : (Puissance tribunitienne, consul pour la quatrième fois).
Commento
Si l’attribution de la série à l’idole de face et celle des Dioscures a été controversée, les deux opinions (Bellinger l’attribuant à Orthosia, Seyrig à Akko - Ptolemais) convergeaient pour lier ces deux séries. Les deux séries partagent trop de caractéristiques pour ne pas provenir de la même ville.
Rien d’étonnant à trouver deux symboles dans une même ville et plusieurs cités sont dans ce cas (Sidon et Carrhae par exemple).
L’hypothèse fiscale explique facilement cette situation : outre la cité, si celle-ci est effectivement une entité politique, comme groupement des familles et des corporations les plus importantes, il peut parfaitement se trouver d’autres institutions ou entités redevables de la taxe. Il semble peu probable que les temples aient été exemptés.
L’attribution à Akko - Ptolemais ne semble plus guère être contestée, la description faite par Seyrig de la statue cultuelle de Jupiter Héliopolitain correspondant très précisément à celle qui figure sur cette série : “Le dieu porte une cuirasse et un kalathos, lève un fouet de la main droite et un foudre de la main gauche. A ses pieds se trouve Hermès entouré de deux taureaux”.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, seize exemplaires sont maintenant répertoriés, trois en musée, deux à Paris, ex collection Seyrig, un à l’American Numismatic Society. Notre exemplaire est le 1216_014.
Rien d’étonnant à trouver deux symboles dans une même ville et plusieurs cités sont dans ce cas (Sidon et Carrhae par exemple).
L’hypothèse fiscale explique facilement cette situation : outre la cité, si celle-ci est effectivement une entité politique, comme groupement des familles et des corporations les plus importantes, il peut parfaitement se trouver d’autres institutions ou entités redevables de la taxe. Il semble peu probable que les temples aient été exemptés.
L’attribution à Akko - Ptolemais ne semble plus guère être contestée, la description faite par Seyrig de la statue cultuelle de Jupiter Héliopolitain correspondant très précisément à celle qui figure sur cette série : “Le dieu porte une cuirasse et un kalathos, lève un fouet de la main droite et un foudre de la main gauche. A ses pieds se trouve Hermès entouré de deux taureaux”.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, seize exemplaires sont maintenant répertoriés, trois en musée, deux à Paris, ex collection Seyrig, un à l’American Numismatic Society. Notre exemplaire est le 1216_014.