bga_916679 - CELTI DEL DANUVIO Tétradrachme “au rameau”
non disponibile.
Articolo venduto sul nostro negozio (2024)
Prezzo : 850.00 €
Articolo venduto sul nostro negozio (2024)
Prezzo : 850.00 €
Tipo : Tétradrachme “au rameau”
Data: (IIe-Ier siècles avant J.-C.)
Metallo : argento
Diametro : 23,5 mm
Asse di coniazione : 3 h.
Peso : 14,19 g.
Grado di rarità : R2
Commenti sullo stato di conservazione:
Belle monnaie sur un flan épais et centré. Très beau portrait de Zeus au droit, finement détaillé. Revers tréflé. Patine grise
N° nelle opere di riferimento :
Pedigree :
Cet exemplaire provient de la collection Norbert Michaud, fameux collectionneur d’art japonais
Diritto
Titolatura diritto : ANÉPIGRAPHE.
Descrittivo diritto : Tête laurée de Zeus à gauche, grènetis.
Rovescio
Descrittivo rovescio : Cavalier au pas à gauche, tenant une palme de la main droite ; le cheval lève l'antérieur à droite ; légende dégénérée autour du cheval.
Legenda rovescio : FILIP - POU.
Commento
Cet exemplaire est celui de MONNAIES 28, n° 688. Ce tétradrachme semble être des mêmes coins que le n° 688 de MONNAIES 28 et du n° 3 de la vente LANZ 154. Mis à part ces exemplaires, ce type précis semble manquer à tous les ouvrages et catalogues de musées consultés.
Si le statère d’or de Philippe II de Macédoine a servi de prototype à de nombreuses imitations gauloises, le tétradrachme n’a pas été imité en Gaule, mais reste principal sujet d’inspiration des monnaies pour les Celtes du Danube (LT. 9697-9767, 9768-9832, 9618-9630, 9870-9886). Les premières imitations furent frappées dans le premier quart du IIIe siècle avant J.-C. La fabrication des copies serviles, puis des imitations, enfin des frappes celtiques continuèrent pendant plus de deux siècles.
Si le statère d’or de Philippe II de Macédoine a servi de prototype à de nombreuses imitations gauloises, le tétradrachme n’a pas été imité en Gaule, mais reste principal sujet d’inspiration des monnaies pour les Celtes du Danube (LT. 9697-9767, 9768-9832, 9618-9630, 9870-9886). Les premières imitations furent frappées dans le premier quart du IIIe siècle avant J.-C. La fabrication des copies serviles, puis des imitations, enfin des frappes celtiques continuèrent pendant plus de deux siècles.