fme_834540 - LOUIS XV DIT LE BIEN AIMÉ Médaille, Statue équestre de Louis XV, tirage uniface, épreuve en étain
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Tipo : Médaille, Statue équestre de Louis XV, tirage uniface, épreuve en étain
Data: 1733
Nome della officina / città: 33 - Bordeaux
Metallo : stagno
Diametro : 59 mm
Asse di coniazione : 12 h.
Incisore DUVIVIER Jean (1687-1761)
Peso : 31,32 g.
Orlo : lisse
Marchio : sans poinçon
Commenti sullo stato di conservazione:
Joli tirage uniface présentant quelques frottements dans les champs. Petite usure. Présence de quelques rayures
N° nelle opere di riferimento :
Diritto
Titolatura diritto : CIVITAS BURDIGAL - OPTIMO PRINCIPI // MDCCXXXIII.
Descrittivo diritto : Statue équestre de Louis XV. Signé : DU VIVIER F. (signature à droite).
Traduzione diritto : La ville de Bordeaux au meilleur des princes.
Rovescio
Titolatura rovescio : LISSE.
Commento
La frappe initiale de 1733 se composait de 26 médailles en or, 150 en argent et 300 en bronze.
La place de la Bourse est la première brèche dans les remparts du Moyen Âge et est destinée à servir d’écrin à la statue équestre, détruite à la Révolution, du roi de France Louis XV. Inaugurée en 1749, elle est le symbole de la prospérité de la ville. Successivement appelée place Royale, place de la Liberté pendant la Révolution, place impériale sous Napoléon Ier, puis à nouveau place Royale à la Restauration. En 1848, à la chute de Louis-Philippe Ier, elle devient place de la Bourse.
L’intendant Boucher veut ouvrir la ville sur le fleuve. Il souhaite moderniser Bordeaux et offrir un visage de la ville plus accueillant à l'étranger qui vient par la rive droite de la Garonne. On supprime une partie des murailles qui ceinturent Bordeaux et on construit une place Royale. Une statue équestre du roi Louis XV est placée en son centre.
À la Révolution, la statue est remplacée par un arbre de la liberté. Elle prend le nom de « Place Impériale » à l'occasion de la venue de Napoléon Ier.
En 1828, sous la Restauration, la ville élève une modeste fontaine, en forme de colonne de marbre rose surmontée d'un chapiteau blanc et d'un globe, à l'emplacement de la statue équestre disparue à la Révolution. En 1869, elle est remplacée par l'actuelle « fontaine des Trois Grâces » représentant Aglaé, Euphrosyne et Thalie, les filles de Zeus, dessinée par Louis Visconti, sculptée par Charles Gumery et coulée par la fonderie Thiébaut Frères.
Intimement liée à l’histoire de la place Royale (actuelle place de la Bourse), l’édification de la statue équestre de Louis XV interviendra à Bordeaux plus tard que dans d’autres villes en raison de la forte rancune que gardait notre cité à l’égard du roi, suite aux durs châtiments infligés lors de la révolte de 1675.
En savoir plus sur http://www.bordeaux-gazette.com/histoire-de-la-place-royale-et-de-la-statue-equestre-de-louis-xv.html#w9oAm7FwsHWo7wJk.99.
La place de la Bourse est la première brèche dans les remparts du Moyen Âge et est destinée à servir d’écrin à la statue équestre, détruite à la Révolution, du roi de France Louis XV. Inaugurée en 1749, elle est le symbole de la prospérité de la ville. Successivement appelée place Royale, place de la Liberté pendant la Révolution, place impériale sous Napoléon Ier, puis à nouveau place Royale à la Restauration. En 1848, à la chute de Louis-Philippe Ier, elle devient place de la Bourse.
L’intendant Boucher veut ouvrir la ville sur le fleuve. Il souhaite moderniser Bordeaux et offrir un visage de la ville plus accueillant à l'étranger qui vient par la rive droite de la Garonne. On supprime une partie des murailles qui ceinturent Bordeaux et on construit une place Royale. Une statue équestre du roi Louis XV est placée en son centre.
À la Révolution, la statue est remplacée par un arbre de la liberté. Elle prend le nom de « Place Impériale » à l'occasion de la venue de Napoléon Ier.
En 1828, sous la Restauration, la ville élève une modeste fontaine, en forme de colonne de marbre rose surmontée d'un chapiteau blanc et d'un globe, à l'emplacement de la statue équestre disparue à la Révolution. En 1869, elle est remplacée par l'actuelle « fontaine des Trois Grâces » représentant Aglaé, Euphrosyne et Thalie, les filles de Zeus, dessinée par Louis Visconti, sculptée par Charles Gumery et coulée par la fonderie Thiébaut Frères.
Intimement liée à l’histoire de la place Royale (actuelle place de la Bourse), l’édification de la statue équestre de Louis XV interviendra à Bordeaux plus tard que dans d’autres villes en raison de la forte rancune que gardait notre cité à l’égard du roi, suite aux durs châtiments infligés lors de la révolte de 1675.
En savoir plus sur http://www.bordeaux-gazette.com/histoire-de-la-place-royale-et-de-la-statue-equestre-de-louis-xv.html#w9oAm7FwsHWo7wJk.99.