fco_326363 - MAROCCO - PROTETTORATO FRANCESE 5 Dirhams essai laiton Morlon AH 1349 n.d.
non disponibile.
Articolo venduto sul nostro negozio (2018)
Prezzo : 3 500.00 €
Articolo venduto sul nostro negozio (2018)
Prezzo : 3 500.00 €
Tipo : 5 Dirhams essai laiton Morlon AH 1349
Data: n.d.
Quantità coniata : -
Metallo : ottone
Diametro : 32,24 mm
Asse di coniazione : 7 h.
Peso : 12,10 g.
Orlo : lisse
Grado di rarità : INÉDIT
Commenti sullo stato di conservazione:
légères traces de manipulation et de doigts
Pedigree :
Cet exemplaire provient de la Collection Michel
Diritto
Titolatura diritto : EN ARABE, AU CENTRE : DEMI-RIAL DE MOULAY YOUSSEF, LE NOBLE ; DANS LES CANTONS DE L’ÉTOILE : QU’IL SOIT ACCOMPAGNÉ PAR LA JOIE, LA CHANCE, L’AMOUR DE SON PEUPLE, LA GLOIRE, ET CE, POUR TOUJOURS.
Descrittivo diritto : Sceau de Salomon cerclé en son centre.
Rovescio
Titolatura rovescio : REPVBLIQVE - FRANÇAISE.
Descrittivo rovescio : tête de Marianne à droite et signature Morlon.
Commento
Cette frappe est inédite en laiton. Par ailleurs, Lecompte signale une frappe médaille. Il s’agit ici d’une très étrange frappe à 7h qui se rapproche donc plus d’une frappe monnaie.
Nous avons souvent inversé les illustrations du livre de Jean Lecompte avers/revers car le Maroc étant un protectorat, la puissance émettrice, théoriquement placée à l’avers, est le roi du Maroc et non la République française.
Pour cette pièce, qui ne mentionne pas de statut politique particulier ni n’utilise le système inspiré de celui des Français (qui n’apparaît qu’en 1339 A.H., on devrait certainement placer à l’avers le nom et les titres du roi. On notera que dans ce cas l’avers porte également la valeur faciale, le revers une autre expression de la valeur faciale, le lieu et l’année de frappe.
Malheureusement, entre les intentions des responsables marocains, l’exécution par la Monnaie de Paris (nous avons vu que l’auteur des coins ne connaissait pas la langue arabe) et les traditions locales éventuellement différentes, il est très difficile de trancher.
Nous avons souvent inversé les illustrations du livre de Jean Lecompte avers/revers car le Maroc étant un protectorat, la puissance émettrice, théoriquement placée à l’avers, est le roi du Maroc et non la République française.
Pour cette pièce, qui ne mentionne pas de statut politique particulier ni n’utilise le système inspiré de celui des Français (qui n’apparaît qu’en 1339 A.H., on devrait certainement placer à l’avers le nom et les titres du roi. On notera que dans ce cas l’avers porte également la valeur faciale, le revers une autre expression de la valeur faciale, le lieu et l’année de frappe.
Malheureusement, entre les intentions des responsables marocains, l’exécution par la Monnaie de Paris (nous avons vu que l’auteur des coins ne connaissait pas la langue arabe) et les traditions locales éventuellement différentes, il est très difficile de trancher.