E-auction 605-578749 - fme_954822 - SECONDO IMPERO FRANCESE Médaille, L’archevêque Sibour
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SENZA COSTI PER GLI ACQUIRENTI.
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Valutazione : | 35 € |
Prezzo : | 6 € |
Offerta maxima : | 9 € |
Data di fine vendita : | 18 novembre 2024 22:22:20 |
partecipanti : | 4 partecipanti |
Tipo : Médaille, L’archevêque Sibour
Data: 1857
Nome della officina / città: 75 - Paris
Metallo : ottone
Diametro : 22,50 mm
Asse di coniazione : 12 h.
Peso : 3,16 g.
Orlo : lisse
Marchio : sans poinçon
Commenti sullo stato di conservazione:
Belle patine brillante. Légère usure sur deux lettres au revers, légers coups sur la tranche
Diritto
Titolatura diritto : M. DOM AUGUSTE SIBOUR ARCHQUE DE PARIS.
Descrittivo diritto : Buste à droit de l’archevêque tenant une crosse et pointant deux doigts .
Rovescio
Titolatura rovescio : FRAPPE MORTELLEMENT // LE / 3 JANVIER 1857 / DANS L’ÉGLISE / DE ST ETIENNE DU MONT / FÊTE PATRONALE / DE STE. GENEVIEVE / .(FLEUR). // MALEDIMUR ET BENEDICIMUS (S. PAUL AUX CORINTH. 4. 13).
Descrittivo rovescio : Légende circulaire et en six lignes horizontales.
Commento
Marie Dominique Auguste Sibour, né à Saint-Paul-Trois-Châteaux (Drôme), le 4 août 1792, mort assassiné à Paris, le 3 janvier 1857, est un ecclésiastique français, évêque du diocèse de Digne (1840-1848) puis archevêque de Paris (1848-1857).
Il est poignardé en pleine église, à l'issue d'une cérémonie le 3 janvier 1857 par Jean-Louis Verger ancien curé, visiblement déséquilibré, et déjà sanctionné par l’Église. En plus d'avoir eu plusieurs problèmes avec les autorités religieuses (avant cette affaire) qui lui ont valu une série de sanctions, M. Verger avait déjà eu maille à partir avec la justice pour plusieurs affaires de vols ou de scandales sur la voie publique. Lors d'un précédent procès un médecin avait déclaré « Il a toute sa lucidité, mais c'est un homme dangereux ». Son procès, qui se conclura par sa condamnation et son exécution le 30 janvier 1857, donnera lieu à de nouveaux esclandres de la part du prévenu..
Il est poignardé en pleine église, à l'issue d'une cérémonie le 3 janvier 1857 par Jean-Louis Verger ancien curé, visiblement déséquilibré, et déjà sanctionné par l’Église. En plus d'avoir eu plusieurs problèmes avec les autorités religieuses (avant cette affaire) qui lui ont valu une série de sanctions, M. Verger avait déjà eu maille à partir avec la justice pour plusieurs affaires de vols ou de scandales sur la voie publique. Lors d'un précédent procès un médecin avait déclaré « Il a toute sa lucidité, mais c'est un homme dangereux ». Son procès, qui se conclura par sa condamnation et son exécution le 30 janvier 1857, donnera lieu à de nouveaux esclandres de la part du prévenu..