E-auction 556-489458 - fme_871553 - SECONDO IMPERO FRANCESE Médaillette, Mariage de Napoléon III et Eugénie
Devi Sign-in ed essere un offerente approvato fare un'offerta, Login per fare offerte. Conti sono soggetti ad approvazione e di approvazione sono raggiunti entro 48 ore. Non aspettare fino al giorno di una vendita si chiude per registrarti.Confermando la tua offerta su questo oggetto ti impegni ad un contratto legalmente vincolante per l'acquisto di questo prodotto e fare clic su «offerta» costituisce accettazione dei termini di utilizzo de e-auctions cgb.fr.
Offerta deve essere collocato in euro gli importi interi vendita only.The si chiuderà al momento sulla descrizione dell'oggetto, eventuali offerte pervenute al sito dopo l'orario di chiusura non verranno eseguite. Volte transmition possono variare e le offerte potrebbero essere respinto se si attende per gli ultimi secondi. Per ulteriori informazioni ckeck le FAQ.
SENZA COSTI PER GLI ACQUIRENTI.
SENZA COSTI PER GLI ACQUIRENTI.
Valutazione : | 30 € |
Prezzo : | 7 € |
Offerta maxima : | 11 € |
Data di fine vendita : | 11 dicembre 2023 20:00:00 |
partecipanti : | 3 partecipanti |
Tipo : Médaillette, Mariage de Napoléon III et Eugénie
Data: 1853
Nome della officina / città: 75 - Paris
Metallo : ottone
Diametro : 28 mm
Asse di coniazione : 12 h.
Peso : 4,39 g.
Orlo : Lisse
Marchio : sans poinçon
Commenti sullo stato di conservazione:
Patine un peu sombre et hétérogène
Diritto
Titolatura diritto : NAPOLÉON EMPEREUR EUGÈNIE IMPÉRATRICE.
Descrittivo diritto : Têtes accolées à gauche, d’Eugénie avec son diadème et un collier de perles et de Napoléon laurée.
Rovescio
Titolatura rovescio : UNIS LE 30 JANVIER 1853 / VIVE / L’EMPEREUR / VIVE / L’EMPEREUR.
Descrittivo rovescio : Légende circulaire et en 4 lignes décorées d’abeille et d’une couronne.
Commento
Diamètre sans la bélière : 23 mm.
Le 2 décembre 1852, Louis-Napoléon Bonaparte devient l'Empereur Napoléon.
L'Empereur étant célibataire et sans postérité légitime, la question de la succession dynastique n'est pas tranchée. Plusieurs membres des différentes familles régnantes européennes sont approchés pour un éventuel mariage impérial mais sans donner de résultats, notamment en raison des mœurs du prétendant (Napoléon III est déjà au moins le père de deux enfants naturels et vit avec une ancienne courtisane). En 1849, il a fait la connaissance de la jeune comtesse de Teba lors d'une réception à l'Élysée. De haut lignage espagnol, éduquée au couvent du Sacré-Cœur rue de Varenne à Paris, Eugénie de Montijo est une jeune femme instruite et cultivée de la noblesse, proche de Stendhal et de Prosper Mérimée. Dès leur rencontre, celui qui n'est alors que le prince-président est séduit. Le siège qu'il entreprend auprès d'Eugénie dure deux ans. Les familiers de l'Empereur sont au début assez partagés envers la comtesse espagnole, certains souhaitant que l'Empereur se lie avec une famille régnante comme autrefois Napoléon avec Marie-Louise. Le 12 janvier 1853, un incident lors d'un bal aux Tuileries, où la jeune Espagnole se fait traiter d'aventurière par l'épouse d'un ministre, précipite la décision de Napoléon III de demander Eugénie en mariage alors qu'il vient de mettre un terme à sa relation avec Miss Howard.
Le 29 janvier 1853, le mariage civil de Napoléon III avec Eugénie de Montijo est célébré aux Tuileries puis, le 30 janvier, le mariage religieux a lieu à Notre-Dame. Pour cette occasion, l'Empereur signe 3 000 ordres de grâce et fait savoir que toutes les dépenses du mariage seraient imputées sur le budget de sa liste civile alors qu'Eugénie refuse une parure de diamants offerte par la Ville de Paris et demande que la somme correspondante soit consacrée à la construction d'un orphelinat.
Le 2 décembre 1852, Louis-Napoléon Bonaparte devient l'Empereur Napoléon.
L'Empereur étant célibataire et sans postérité légitime, la question de la succession dynastique n'est pas tranchée. Plusieurs membres des différentes familles régnantes européennes sont approchés pour un éventuel mariage impérial mais sans donner de résultats, notamment en raison des mœurs du prétendant (Napoléon III est déjà au moins le père de deux enfants naturels et vit avec une ancienne courtisane). En 1849, il a fait la connaissance de la jeune comtesse de Teba lors d'une réception à l'Élysée. De haut lignage espagnol, éduquée au couvent du Sacré-Cœur rue de Varenne à Paris, Eugénie de Montijo est une jeune femme instruite et cultivée de la noblesse, proche de Stendhal et de Prosper Mérimée. Dès leur rencontre, celui qui n'est alors que le prince-président est séduit. Le siège qu'il entreprend auprès d'Eugénie dure deux ans. Les familiers de l'Empereur sont au début assez partagés envers la comtesse espagnole, certains souhaitant que l'Empereur se lie avec une famille régnante comme autrefois Napoléon avec Marie-Louise. Le 12 janvier 1853, un incident lors d'un bal aux Tuileries, où la jeune Espagnole se fait traiter d'aventurière par l'épouse d'un ministre, précipite la décision de Napoléon III de demander Eugénie en mariage alors qu'il vient de mettre un terme à sa relation avec Miss Howard.
Le 29 janvier 1853, le mariage civil de Napoléon III avec Eugénie de Montijo est célébré aux Tuileries puis, le 30 janvier, le mariage religieux a lieu à Notre-Dame. Pour cette occasion, l'Empereur signe 3 000 ordres de grâce et fait savoir que toutes les dépenses du mariage seraient imputées sur le budget de sa liste civile alors qu'Eugénie refuse une parure de diamants offerte par la Ville de Paris et demande que la somme correspondante soit consacrée à la construction d'un orphelinat.