E-auction 565-505696 - fme_635131 - SOCIÉTÉS COMMERCIALES Médaille, Société des Filatures, Corderies et Tissages d’Angers
Devi Sign-in ed essere un offerente approvato fare un'offerta, Login per fare offerte. Conti sono soggetti ad approvazione e di approvazione sono raggiunti entro 48 ore. Non aspettare fino al giorno di una vendita si chiude per registrarti.Confermando la tua offerta su questo oggetto ti impegni ad un contratto legalmente vincolante per l'acquisto di questo prodotto e fare clic su «offerta» costituisce accettazione dei termini di utilizzo de e-auctions cgb.fr.
Offerta deve essere collocato in euro gli importi interi vendita only.The si chiuderà al momento sulla descrizione dell'oggetto, eventuali offerte pervenute al sito dopo l'orario di chiusura non verranno eseguite. Volte transmition possono variare e le offerte potrebbero essere respinto se si attende per gli ultimi secondi. Per ulteriori informazioni ckeck le FAQ.
SENZA COSTI PER GLI ACQUIRENTI.
SENZA COSTI PER GLI ACQUIRENTI.
Valutazione : | 25 € |
Prezzo : | 10 € |
Offerta maxima : | 10 € |
Data di fine vendita : | 12 febbraio 2024 19:37:00 |
partecipanti : | 4 partecipanti |
Tipo : Médaille, Société des Filatures, Corderies et Tissages d’Angers
Data: n.d.
Nome della officina / città: 49 - Angers
Metallo : rame
Diametro : 49,5 mm
Asse di coniazione : 12 h.
Incisore DROPSY Henry (1885-1969)
Peso : 46,82 g.
Orlo : lisse + triangle CUIVRE
Marchio : CUIVRE
Commenti sullo stato di conservazione:
Patine hétérogène avec quelques taches noires et une légère usure sur les hauts reliefs. Présence de fines rayures
Diritto
Titolatura diritto : ANÉPIGRAPHE.
Descrittivo diritto : Coureur franchissant la ligne d’arrivée. Signature en monogramme : HD.
Rovescio
Titolatura rovescio : S.TE A.ME DES FILATURES, CORDERIES ET TISSAGES D’ANGERS // BESSONNEAU / ADMINISTRATEUR.
Descrittivo rovescio : Ouvrier tirant sur un fil tandis qu’un autre tourne une manivelle. Paysage et rivière à l’arrière plan. Signé : HENRY DROPSY.
Commento
Exemplaire non décerné
Il s’agit de la société des Filatures, Corderies et Tissages d'Angers, les établissements Bessonneau, dirigés par Julien Bessonneau, industriel angevin.
En 1917, l'usine s'étend avec l'acquisition de la fabrique de câbles métalliques de la Commission des Ardoisières, menant à la création de la S.A. des Câbleries et Tréfileries d'Angers.
En 1916, lorsque Julien Bessonneau père (1842-1916), se tue accidentellement, l'empire industriel familial passe en succession à son fils Julien Bessonneau.
Julien Bessonneau fils (1880-1960) fait prospérer l'entreprise familiale.
Julien Bessoneau fondera la S.A. d'Applications Industrielles du Bois en 1917, dirigée par la fabricant de meubles parisien Noël.
En août 1918, une société en nom collectif, Anjou-Aéronautique, sera créée entre Julien Bessonneau fils, l'industriel Marcel Dassault, l'ingénieur Henry Potez, et le fabricant parisien de papier-peint René Lévy-Finger.
En 1920, l'établissement Bessonneau emploiera jusqu'à 10 000 ouvriers. Mais la gestion hasardeuse de Julien Bessonneau entamera la prospérité de l'entreprise. Il démissionnera en 1921. (cf. Numistoria).
Il s’agit de la société des Filatures, Corderies et Tissages d'Angers, les établissements Bessonneau, dirigés par Julien Bessonneau, industriel angevin.
En 1917, l'usine s'étend avec l'acquisition de la fabrique de câbles métalliques de la Commission des Ardoisières, menant à la création de la S.A. des Câbleries et Tréfileries d'Angers.
En 1916, lorsque Julien Bessonneau père (1842-1916), se tue accidentellement, l'empire industriel familial passe en succession à son fils Julien Bessonneau.
Julien Bessonneau fils (1880-1960) fait prospérer l'entreprise familiale.
Julien Bessoneau fondera la S.A. d'Applications Industrielles du Bois en 1917, dirigée par la fabricant de meubles parisien Noël.
En août 1918, une société en nom collectif, Anjou-Aéronautique, sera créée entre Julien Bessonneau fils, l'industriel Marcel Dassault, l'ingénieur Henry Potez, et le fabricant parisien de papier-peint René Lévy-Finger.
En 1920, l'établissement Bessonneau emploiera jusqu'à 10 000 ouvriers. Mais la gestion hasardeuse de Julien Bessonneau entamera la prospérité de l'entreprise. Il démissionnera en 1921. (cf. Numistoria).