Live auction - fme_993809 - TERZA REPUBBLICA FRANCESE Médaille, Hospices d’Angers
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Le offerte vincenti saranno sottomesse ai 18% per spese di compartecipazione alla vendita.
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| Prezzo di inizio : | 50 € |
| Valutazione : | 100 € |
| Prezzo : | 54 € |
| Offerta maxima : | 100 € |
| Data di fine vendita : | 11 febbraio 2025 16:41:43 |
| partecipanti : | 2 partecipanti |
Tipo : Médaille, Hospices d’Angers
Data: (1919)
Metallo : argento
Diametro : 45 mm
Asse di coniazione : 12 h.
Incisore GREGOIRE René (1871-1945)
Peso : 35,9 g.
Orlo : lisse + ARGENT losange + tête de sanglier
Marchio : Losange ARGENT Tête de sanglier
Commenti sullo stato di conservazione:
Platine hétérogène avec des traces de manipulation. Quelques tâches d’oxydation
N° nelle opere di riferimento :
Diritto
Titolatura diritto : HENRI. II. PLANTAGENET BIENFAITEUR 1179.
Descrittivo diritto : Profil à gauche du buste d’Henri II Plantagenêt dans le cloître de l’hôpital Saint-Jean. Signé : GREGOIRE.
Rovescio
Titolatura rovescio : HOSPICES D’ANGERS // SENECHAL ETIENNE FONDATEUR 1174.
Descrittivo rovescio : Chapelle Sainte-Marie et cour d’honneur arborée au-dessus d’un cartouche vierge. Signature monogramme : RG.
Commento
La médaille des hospices d’Angers présente une interprétation historique correcte du rôle des « fondateurs officiels », Henri Plantagenet et Étienne de Marçay, non sans anachronisme dans la représentation. On la doit au Saumurois René Grégoire (1871-1945), prix de Rome de gravure de médaille en 1899.
Elle figure sur l’avers un profil qui serait celui du roi Henri II Plantagenêt d’après l’inscription gravée Pas mieux inspiré par le Plantagenêt que les artistes Lenepveu et Appert (supra, fig. 4 et 5), le graveur a simplement repris en changeant le côté du profil, le buste du roi Louis XII tel qu’il figurait dans la médaille de mariage avec Anne de Bretagne offerte à Lyon en 1500 n. s.73. Ce profil était bien connu parce qu’il a été repris par Armand Caqué en 1836 pour sa 57e médaille de la série « Galerie des rois de France ». En arrière-plan, le petit cloître de l’hôpital Saint-Jean correspond à la période d’Henri Plantagenêt mais la porte au fond est celle de l’entrée de la chapelle au début du xviiie siècle.
Au revers, René Grégoire n’a pas osé figurer le « sénéchal Etienne » et l’a remplacé par une vue de la cour d’honneur de l’hôpital du xixe siècle avec la chapelle et son dôme au centre. Henri II est qualifié de « bienfaiteur, 1179 » et Étienne de « fondateur, 1174 ». Les deux qualités sont justes mais les dates reflètent partiellement la recherche historique. 1174 correspond à ce qui était considéré comme l’entrée en fonction du sénéchal par la majorité des historiens du xixe siècle74. On savait pourtant qu’il était déjà en place en 1168. En revanche l’année 1179 est issue non pas d’anciennes études historiques mais de la fourchette haute des dates des dons d’Henri II publiés par Léopold Delisle75 dans son Recueil des actes d’Henri II et reprises par le chanoine Urseau en 192276.
On ne connait ni l’origine de cette commande ni l’auteur des inscriptions qu’a reproduit le graveur. Il est probable que le chanoine Charles Urseau qui venait d’être nommé, en 1917, conservateur du musée d’Antiquités Saint-Jean et donc tout proche de l’hôpital du xixe siècle, n’a pas manqué d’être sollicité..
Elle figure sur l’avers un profil qui serait celui du roi Henri II Plantagenêt d’après l’inscription gravée Pas mieux inspiré par le Plantagenêt que les artistes Lenepveu et Appert (supra, fig. 4 et 5), le graveur a simplement repris en changeant le côté du profil, le buste du roi Louis XII tel qu’il figurait dans la médaille de mariage avec Anne de Bretagne offerte à Lyon en 1500 n. s.73. Ce profil était bien connu parce qu’il a été repris par Armand Caqué en 1836 pour sa 57e médaille de la série « Galerie des rois de France ». En arrière-plan, le petit cloître de l’hôpital Saint-Jean correspond à la période d’Henri Plantagenêt mais la porte au fond est celle de l’entrée de la chapelle au début du xviiie siècle.
Au revers, René Grégoire n’a pas osé figurer le « sénéchal Etienne » et l’a remplacé par une vue de la cour d’honneur de l’hôpital du xixe siècle avec la chapelle et son dôme au centre. Henri II est qualifié de « bienfaiteur, 1179 » et Étienne de « fondateur, 1174 ». Les deux qualités sont justes mais les dates reflètent partiellement la recherche historique. 1174 correspond à ce qui était considéré comme l’entrée en fonction du sénéchal par la majorité des historiens du xixe siècle74. On savait pourtant qu’il était déjà en place en 1168. En revanche l’année 1179 est issue non pas d’anciennes études historiques mais de la fourchette haute des dates des dons d’Henri II publiés par Léopold Delisle75 dans son Recueil des actes d’Henri II et reprises par le chanoine Urseau en 192276.
On ne connait ni l’origine de cette commande ni l’auteur des inscriptions qu’a reproduit le graveur. Il est probable que le chanoine Charles Urseau qui venait d’être nommé, en 1917, conservateur du musée d’Antiquités Saint-Jean et donc tout proche de l’hôpital du xixe siècle, n’a pas manqué d’être sollicité..
Cronistoria
TERZA REPUBBLICA FRANCESE
(4/09/1870-10/07/1940)
La notizia della capitolazione di Sedan provoca la rivoluzione del 4 settembre 1870 a Parigi. Proclamata all'Hôtel de Ville, la Repubblica è dotata di un governo provvisorio chiamato Governo di Difesa Nazionale. Minacciato a sinistra dall'insurrezione del Comune ea destra dai monarchici, il nuovo regime ebbe un inizio difficile.. Inizialmente capo del potere esecutivo (febbraio 1871), Thiers si occupò di riorganizzare il paese prima di scegliere la sua forma di governo.. Divenne presidente della Repubblica nell'agosto 1871 e, nonostante la sua azione per liberare il territorio, dovette lasciare il suo incarico nel marzo 1873 di fronte all'opposizione monarchica.. Viene poi sostituito da Mac-Mahon favorevole alla restaurazione della monarchia ma questo non viene ripristinato in seguito alla questione della bandiera. La legge del settennato fu poi varata nel novembre 1873 e poi, nel 1875, furono approvate le leggi fondamentali che servirono da Costituzione della Terza Repubblica.. Sistema parlamentare, si caratterizza in particolare per la netta preponderanza del potere legislativo su quello esecutivo. Anticlericale, la Terza Repubblica rende la scuola gratuita, laica e obbligatoria ma continua la politica coloniale per le sue ambizioni economiche, strategiche e morali. La separazione tra Chiesa e Stato fu approvata nel 1905.. L'idea di vendetta sulla Germania e il nazionalismo significativo sono al centro della crisi boulangista, dello scandalo di Panama o dell'affare Dreyfus degli anni 1886-1899, mentre la politica estera è molto attiva, in particolare in Marocco e che si sviluppa la corsa agli armamenti. La prima guerra mondiale fu costosa per la Francia, che si riprese solo dal 1920 o addirittura dal 1928 per la moneta con il franco "Poincaré".. La crisi del 1929 si fa sentire solo dal 1932 ma dura fino al 1939, periodo durante il quale l'instabilità ministeriale è molto importante. Vacillando nel 1934, la Terza Repubblica trovò un nuovo cemento unitario con l'antifascismo che permise al Fronte Popolare di salire al potere nel 1936.. Ma, paralizzata contro la Germania, la Francia fu poi impantanata in una "guerra fasulla" e poi subì una delle più grandi sconfitte della sua storia nel giugno 1940.. Riunite nell'Assemblea nazionale di Vichy il 10 luglio 1940, le Camere, benché elette nel 1936, votarono pieni poteri a Pétain in una sorta di suicidio collettivo con 569 voti favorevoli, 80 contrari e 18 astenuti..
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