v55_0454 - TEODOSIO II Solidus
MONNAIES 55 (2012)
Prezzo di inizio : 950.00 €
Valutazione : 1 500.00 €
Prezzo realizzato : 1 750.00 €
Numero di offerte : 2
Offerta maxima : 1 800.00 €
Prezzo di inizio : 950.00 €
Valutazione : 1 500.00 €
Prezzo realizzato : 1 750.00 €
Numero di offerte : 2
Offerta maxima : 1 800.00 €
Tipo : Solidus
Data: 408-420
Nome della officina / città: Costantinopoli
Metallo : oro
Titolo in millesimi : 1000 ‰
Diametro : 20,5 mm
Asse di coniazione : 6 h.
Peso : 4,51 g.
Grado di rarità : R1
Officine: 8e
Commenti sullo stato di conservazione:
Exemplaire de qualité exceptionnelle sur un flan régulier bien centré des deux côtés. Très beau portrait, de haut relief, bien venu à la frappe. Revers de style fin. Conserve l’intégralité de son brillant de frappe et de son coupant d’origine
N° nelle opere di riferimento :
Pedigree :
Cet exemplaire provient du stock de la banque LEU, février 1976 (1450€) et de MONNAIES 38, n° 1362
Diritto
Titolatura diritto : D N THEODO-SIVS P F AVG.
Descrittivo diritto : Buste diadémé, casqué et cuirassé de Théodose II de face, tenant de la main droite la haste qui repose sur l'épaule et de la gauche, un bouclier orné d'un cavalier chargeant à droite (N’a) ; diadème perlé.
Traduzione diritto : “Dominus Noster Theodosius Pius Felix Augustus”, (Notre seigneur Théodose pieux heureux auguste).
Rovescio
Titolatura rovescio : CONCORDI-A AVGGH/ *|-// CONOB.
Descrittivo rovescio : Constantinople assise de face, tournée à droite, casquée et drapée, tenant un globe nicéphore de la main gauche et un sceptre long de la main droite, le pied gauche posé sur une proue de navire ; une étoile à huit rais dans le champ à gauche.
Traduzione rovescio : “Concordia Augustorum”, (La Concorde des augustes).
Commento
Rubans de type 3 aux extrémités bouletées. Cuirasse cloutée. Épaulière décorée. Bouclier orné d’un cavalier galopant à droite, terrassant un fantassin (stylisé et collé sous le cheval). Étoile à huit rais. Revers d’un style extraordinaire. Ce type est en fait plus rare que ne le laissent supposer les ouvrages généraux. La lettre d’officine semble retouchée sur une autre sans que l’on puisse discerner la précédente.