v32_0129 - TIBERIO Denier
MONNAIES 32 (2007)
Prezzo di inizio : 450.00 €
Valutazione : 750.00 €
Prezzo realizzato : 515.00 €
Numero di offerte : 2
Offerta maxima : 715.00 €
Prezzo di inizio : 450.00 €
Valutazione : 750.00 €
Prezzo realizzato : 515.00 €
Numero di offerte : 2
Offerta maxima : 715.00 €
Tipo : Denier
Data: c. 15-37
Nome della officina / città: Gaule, Lyon
Metallo : argento
Titolo in millesimi : 900 ‰
Diametro : 19 mm
Asse di coniazione : 11 h.
Peso : 3,86 g.
Grado di rarità : R1
Emission: 5e
Commenti sullo stato di conservazione:
Exemplaire de qualité exceptionnelle sur un flan large et légèrement ovale. Portrait de toute beauté. Revers parfaitement centré avec le grènetis visible, de style fin où tous le détails de la draperie sont visibles. Patine de médaillier avec des reflets mordorés. A conservé une partie de son brillant de frappe et de son coupant d’origine
N° nelle opere di riferimento :
C.16 (2 fr.) - RIC.26 - BMC/RE.48 - RSC.16 a - RCV.1763 (280$) - MRK.5 /4 (700€) - BN/R.34 - Giard/L1.153
Diritto
Titolatura diritto : TI CAESAR DIVI - AVG F AVGVSTVS.
Descrittivo diritto : Tête laurée de Tibère à droite (O*).
Traduzione diritto : “Tiberius Cæsar Divi Augusti Filius Augustus”, (Tibère César fils du divin Auguste, auguste).
Rovescio
Titolatura rovescio : PONTIF - MAXIM.
Descrittivo rovescio : Pax (la Paix) ou Livie assise à droite sur un siège décoré, tenant une branche d'olivier de la main gauche et de la droite un long sceptre.
Traduzione rovescio : “Pontifex Maximus”, (Grand pontife).
Commento
Comme pour le denier d'Auguste, cette pièce appartient à l'atelier impérial de Lyon et ce type de denier a circulé pendant pratiquement un siècle. Il se rencontre très souvent avec des monnaies gauloises de la phase terminale dans les fouilles archéologiques. C’est la monnaie romaine la plus courante en Gaule pour les Julio-Claudiens. La quatrième émission se caractérise par un socle représenté par une seule ligne et les pieds du siège sont ornés de fleurons ; les pieds de Livie reposent sur un tabouret ; au droit, les rubans de la couronne tombent en ondulations, maloidroitement, le portrait reste réaliste, mais à tendance à devenir caricatural. Ce type est normalement frappé à partir de juillet 33 d’après les conclusions de Jean-Baptiste Giard.