fme_648511 - TERZA REPUBBLICA FRANCESE Médaille, Assassinat du président Sadi Carnot
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Tipo : Médaille, Assassinat du président Sadi Carnot
Data: (1832)
Metallo : ottone
Diametro : 89,5 mm
Asse di coniazione : 12 h.
Peso : 136,72 g.
Orlo : lisse
Commenti sullo stato di conservazione:
Patine hétérogène, des marques d’usure sur les reliefs. Présence de coups et rayures, notamment sur la tranche
Diritto
Titolatura diritto : CARNOT FRANÇOIS MARIE SADI PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE / ASSASSINÉ À LYON LE 24 JUIN 1894 À 9H10 SOIR PAR CASERIO.
Descrittivo diritto : Buste de Sadi Carnot au-dessus d’une couronne de lauriers et de la scène de son assassinat.
Rovescio
Titolatura rovescio : FRANCOIS MARIE SADI CARNOT / NÉ LE 11 AOÛT 1837 / SORTI DE L’ÉCOLE DES POINTS ET CHAUSSÉS 1863 / ORGANISATEUR DE LA DÉFENSE EN NORMANDIE 1870 71 / DÉPUTÉ À L’ASSEMBLÉE NATIONALE ET RÉÉLU / EN 187 IL SIÈGE À LA GAUCHE RÉPUBLICAINE / MINISTRE DES TRAVAUX PUBLIQUES / 3 DÉCEMBRE 1887.
Descrittivo rovescio : Légende en 9 lignes horizontales.
Commento
Diamètre sans bélière : 73,5 mm
Intéressante fonte en bronze ou en laiton, sans poinçon et sans graveur.
Sadi Carnot, né le 11 août 1837 à Limoges et mort le 25 juin 1894 à Lyon (3e arrondissement), de son nom complet Marie François Sadi Carnot, est un homme d'État français. Il fut président de la République du 3 décembre 1887 jusqu'à ce qu'il meure assassiné le 25 juin 1894.
Haut fonctionnaire de carrière, Sadi Carnot, avant de se faire élire à l'Élysée, avait assumé de nombreuses charges politiques et gouvernementales : député de la Côte-d'Or, préfet de la Seine-Inférieure, puis sous-secrétaire d'État aux Travaux, il fut nommé ministre des Travaux publics, puis des Finances.
Dans un contexte d'agitation syndicale et anarchiste, les lois restreignant les libertés individuelles et la presse venaient d'être votées, Sadi Carnot est l'une des cibles du mouvement anarchiste ayant refusé la grâce de Ravachol, d'Auguste Vaillant, auteur de l'attentat à la Chambre des députés et d'Émile Henry. Il est blessé d'un coup de poignard par l'anarchiste italien Sante Geronimo Caserio le 24 juin 1894, alors qu'il quittait, par une issue secondaire pour éviter la foule, un banquet organisé à la Chambre de commerce à l'occasion de l'exposition universelle, internationale et coloniale à Lyon. Le député Gaston Doumergue, futur président de la République, est témoin de la scène. Caserio est guillotiné le 16 août suivant pour le crime.
Le président de la République meurt des suites de ses blessures, peu après minuit, le 25 juin 1894.
Son assassinat fait adopter par la Chambre la dernière et la plus marquante des lois scélérates visant les anarchistes et leur interdisant tout type de communication. Elle a été abrogée en 1992.
Il repose au Panthéon de Paris avec son grand-père Lazare Carnot.
Intéressante fonte en bronze ou en laiton, sans poinçon et sans graveur.
Sadi Carnot, né le 11 août 1837 à Limoges et mort le 25 juin 1894 à Lyon (3e arrondissement), de son nom complet Marie François Sadi Carnot, est un homme d'État français. Il fut président de la République du 3 décembre 1887 jusqu'à ce qu'il meure assassiné le 25 juin 1894.
Haut fonctionnaire de carrière, Sadi Carnot, avant de se faire élire à l'Élysée, avait assumé de nombreuses charges politiques et gouvernementales : député de la Côte-d'Or, préfet de la Seine-Inférieure, puis sous-secrétaire d'État aux Travaux, il fut nommé ministre des Travaux publics, puis des Finances.
Dans un contexte d'agitation syndicale et anarchiste, les lois restreignant les libertés individuelles et la presse venaient d'être votées, Sadi Carnot est l'une des cibles du mouvement anarchiste ayant refusé la grâce de Ravachol, d'Auguste Vaillant, auteur de l'attentat à la Chambre des députés et d'Émile Henry. Il est blessé d'un coup de poignard par l'anarchiste italien Sante Geronimo Caserio le 24 juin 1894, alors qu'il quittait, par une issue secondaire pour éviter la foule, un banquet organisé à la Chambre de commerce à l'occasion de l'exposition universelle, internationale et coloniale à Lyon. Le député Gaston Doumergue, futur président de la République, est témoin de la scène. Caserio est guillotiné le 16 août suivant pour le crime.
Le président de la République meurt des suites de ses blessures, peu après minuit, le 25 juin 1894.
Son assassinat fait adopter par la Chambre la dernière et la plus marquante des lois scélérates visant les anarchistes et leur interdisant tout type de communication. Elle a été abrogée en 1992.
Il repose au Panthéon de Paris avec son grand-père Lazare Carnot.
Cronistoria
TERZA REPUBBLICA FRANCESE
(4/09/1870-10/07/1940)
La notizia della capitolazione di Sedan provoca la rivoluzione del 4 settembre 1870 a Parigi. Proclamata all'Hôtel de Ville, la Repubblica è dotata di un governo provvisorio chiamato Governo di Difesa Nazionale. Minacciato a sinistra dall'insurrezione del Comune ea destra dai monarchici, il nuovo regime ebbe un inizio difficile.. Inizialmente capo del potere esecutivo (febbraio 1871), Thiers si occupò di riorganizzare il paese prima di scegliere la sua forma di governo.. Divenne presidente della Repubblica nell'agosto 1871 e, nonostante la sua azione per liberare il territorio, dovette lasciare il suo incarico nel marzo 1873 di fronte all'opposizione monarchica.. Viene poi sostituito da Mac-Mahon favorevole alla restaurazione della monarchia ma questo non viene ripristinato in seguito alla questione della bandiera. La legge del settennato fu poi varata nel novembre 1873 e poi, nel 1875, furono approvate le leggi fondamentali che servirono da Costituzione della Terza Repubblica.. Sistema parlamentare, si caratterizza in particolare per la netta preponderanza del potere legislativo su quello esecutivo. Anticlericale, la Terza Repubblica rende la scuola gratuita, laica e obbligatoria ma continua la politica coloniale per le sue ambizioni economiche, strategiche e morali. La separazione tra Chiesa e Stato fu approvata nel 1905.. L'idea di vendetta sulla Germania e il nazionalismo significativo sono al centro della crisi boulangista, dello scandalo di Panama o dell'affare Dreyfus degli anni 1886-1899, mentre la politica estera è molto attiva, in particolare in Marocco e che si sviluppa la corsa agli armamenti. La prima guerra mondiale fu costosa per la Francia, che si riprese solo dal 1920 o addirittura dal 1928 per la moneta con il franco "Poincaré".. La crisi del 1929 si fa sentire solo dal 1932 ma dura fino al 1939, periodo durante il quale l'instabilità ministeriale è molto importante. Vacillando nel 1934, la Terza Repubblica trovò un nuovo cemento unitario con l'antifascismo che permise al Fronte Popolare di salire al potere nel 1936.. Ma, paralizzata contro la Germania, la Francia fu poi impantanata in una "guerra fasulla" e poi subì una delle più grandi sconfitte della sua storia nel giugno 1940.. Riunite nell'Assemblea nazionale di Vichy il 10 luglio 1940, le Camere, benché elette nel 1936, votarono pieni poteri a Pétain in una sorta di suicidio collettivo con 569 voti favorevoli, 80 contrari e 18 astenuti..
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