E-auction 603-574117 - fme_956023 - TERZA REPUBBLICA FRANCESE Médaille, Clémenceau et l’UMFIA
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SENZA COSTI PER GLI ACQUIRENTI.
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Valutazione : | 50 € |
Prezzo : | 6 € |
Offerta maxima : | 7 € |
Data di fine vendita : | 04 novembre 2024 21:03:20 |
partecipanti : | 3 partecipanti |
Tipo : Médaille, Clémenceau et l’UMFIA
Data: 1933
Nome della officina / città: 75 - Paris
Metallo : bronzo
Diametro : 68,5 mm
Asse di coniazione : 12 h.
Incisore VILLANDRE Charles
Peso : 142,20 g.
Orlo : lisse + V. CANALE + triangle
Marchio : Triangle
Commenti sullo stato di conservazione:
Patine hétérogène, présentant quelques marques d’usure
Diritto
Titolatura diritto : CLEMENCEAU DOCTEUR EN MÉDECINE MAI 1865.
Descrittivo diritto : Tête de Clémenceau à droite. Signé : VILLANDRE .
Rovescio
Titolatura rovescio : MÉDAILLE COMMÉMORATIVE / JUBILE MÉDICAL // PRÉSIDENT D’HONNEUR FONDATEUR / DE L’ / UMFIA / 11 NOVEMBRE 1933.
Descrittivo rovescio : Lampe antique posée sur des cartouches contenant 5 lignes de légendes.
Commento
Georges Benjamin Clemenceau, né le 28 septembre 1841 à Mouilleron-en-Pareds (Vendée) et mort le 24 novembre 1929 à Paris, est un homme d'État français, radical-socialiste, président du Conseil de 1906 à 1909, puis de 1917 à 1920.
Fils de médecin et médecin lui-même, il est maire du 18e arrondissement de Paris puis président du conseil municipal de Paris au début de la Troisième République, ainsi que député en 1871 et de 1876 à 1893, siégeant en tant que républicain radical. Défenseur de l'amnistie pour les Communards, et anticlérical, il prône la séparation des Églises et de l'État et s'oppose à la colonisation, faisant tomber le gouvernement Jules Ferry sur cette question. Fondateur du journal La Justice et de la Société des droits de l'homme et du citoyen, il travaille ensuite à L'Aurore et prend une part active dans la défense du capitaine Dreyfus. Il ne cessa de militer en faveur de la restitution de l'Alsace-Moselle, perdues à la suite de la défaite de 1871.
Fils de médecin et médecin lui-même, il est maire du 18e arrondissement de Paris puis président du conseil municipal de Paris au début de la Troisième République, ainsi que député en 1871 et de 1876 à 1893, siégeant en tant que républicain radical. Défenseur de l'amnistie pour les Communards, et anticlérical, il prône la séparation des Églises et de l'État et s'oppose à la colonisation, faisant tomber le gouvernement Jules Ferry sur cette question. Fondateur du journal La Justice et de la Société des droits de l'homme et du citoyen, il travaille ensuite à L'Aurore et prend une part active dans la défense du capitaine Dreyfus. Il ne cessa de militer en faveur de la restitution de l'Alsace-Moselle, perdues à la suite de la défaite de 1871.