fjt_684699 - ARTILLERIE Louis Charles de Bourbon 1739
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Tipo : Louis Charles de Bourbon
Data: 1739
Metallo : argento
Diametro : 28,5 mm
Asse di coniazione : 6 h.
Peso : 7,06 g.
Orlo : cannelée
Grado di rarità : R1
N° nelle opere di riferimento :
Diritto
Titolatura diritto : LOUIS CH. DE BOURBON C. D'EU DUC D'AUM. G. M. DE L'ART.
Descrittivo diritto : Buste à droite de Louis Charles de Bourbon.
Rovescio
Titolatura rovescio : DUM MITTAR IN HOSTEM ; À L'EXERGUE : ARTILLERIE. 1739.
Descrittivo rovescio : Un dogue enchaîné au pied d'un vieux tronc d'arbre.
Traduzione rovescio : Jusqu'à ce que je l'envoie vers l'ennemi.
Commento
Louis Charles de Bourbon, comte d'Eu, duc d'Aumale (1736), prince de Dombes (1755-1762), duc de Gisors (1762), comte de Dreux, prince d'Anet, baron de Sceaux est né au château de Sceaux le 15 octobre 1701 et mort au même endroit le 13 juillet 1775.
Fils du duc du Maine, bâtard légitimé de Louis XIV et de son épouse Anne-Louise Bénédicte de Bourbon-Condé, il demeura célibataire et n'eut pas d'enfant.
Il fut grand maître de l'artillerie de France du décès de son père (1736) à 1755.
Au décès de son frère aîné le prince de Dombes (1755), il devint colonel général des Suisses et Grisons (jusqu'en 1762), gouverneur du Languedoc et il hérita ses propriétés, notamment le château d'Anet où il fit de fréquents séjours et où il s'adonnait à sa passion pour la chasse. Même âgé, il continuait à la suivre dans une petite voiture à roulettes.
Le 28 mars 1762, il échangea avec Louis XV la principauté de Dombes contre le duché de Gisors et les terres de Gretz-Armainvilliers et de Pontcarré.
Apprécié du peuple pour sa générosité, il céda la plupart de ses propriétés – le duché d'Aumale, le comté d'Eu, la principauté d'Anet notamment – à Louis XV en 1773 pour la somme de 12 millions de livres. Mais la transaction qui n'avait pas été terminée lorsque le roi mourut, fut annulée par Louis XVI. Lorsque le comte d'Eu mourut en 1775, son cousin le duc de Penthièvre hérita tous ses biens. Il est inhumé dans l'église Saint-Jean-Baptiste de Sceaux.
Voir sa biographie à http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Charles_de_Bourbon_%281701-1775%29 .
Fils du duc du Maine, bâtard légitimé de Louis XIV et de son épouse Anne-Louise Bénédicte de Bourbon-Condé, il demeura célibataire et n'eut pas d'enfant.
Il fut grand maître de l'artillerie de France du décès de son père (1736) à 1755.
Au décès de son frère aîné le prince de Dombes (1755), il devint colonel général des Suisses et Grisons (jusqu'en 1762), gouverneur du Languedoc et il hérita ses propriétés, notamment le château d'Anet où il fit de fréquents séjours et où il s'adonnait à sa passion pour la chasse. Même âgé, il continuait à la suivre dans une petite voiture à roulettes.
Le 28 mars 1762, il échangea avec Louis XV la principauté de Dombes contre le duché de Gisors et les terres de Gretz-Armainvilliers et de Pontcarré.
Apprécié du peuple pour sa générosité, il céda la plupart de ses propriétés – le duché d'Aumale, le comté d'Eu, la principauté d'Anet notamment – à Louis XV en 1773 pour la somme de 12 millions de livres. Mais la transaction qui n'avait pas été terminée lorsque le roi mourut, fut annulée par Louis XVI. Lorsque le comte d'Eu mourut en 1775, son cousin le duc de Penthièvre hérita tous ses biens. Il est inhumé dans l'église Saint-Jean-Baptiste de Sceaux.
Voir sa biographie à http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Charles_de_Bourbon_%281701-1775%29 .
Cronistoria
ARTILLERIE
Prima di Louvois, l'artiglieria era affidata ad appaltatori civili che fornivano gli uomini e l'equipaggiamento per ogni cannone in batteria a un prezzo prestabilito. Passò sotto un gran maestro d'artiglieria, carica creata sotto Carlo VII, che appartenne a Sully dal 1599 al 1610 o al duca di Meilleraye sotto Richelieu. Con Louvois, l'artiglieria divenne parte integrante dell'esercito e fu protetta dal reggimento dei fucilieri del re. I ranghi nell'artiglieria erano più accessibili alla gente comune che in altri reggimenti, l'avanzamento veniva dato in base a meriti e talenti. Fino al XVIII secolo l'attrezzatura lasciava molto a desiderare con diversi calibri, diversi carrelli e diverse ruote. La standardizzazione e la modernità dell'artiglieria dovranno molto a J.-B. de Gribeauval, ispettore generale dell'artiglieria dal 1776. Alla fine del XVIII secolo, l'artiglieria francese sarà la prima in Europa e questa superiorità spiegherà le vittorie del Rivoluzione.
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