fnc_882046 - ENTREPRISES, INDUSTRIES ET COMMERCES DIVERS 50 Centimes Établissement Jacob Holtzer Unieux
25.00 €
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Tipo : 50 Centimes Établissement Jacob Holtzer
Data: n.d.
Nome della officina / città: Unieux
Metallo : ottone
Diametro : 19 mm
Asse di coniazione : 6 h.
Peso : 2,50 g.
Commenti sullo stato di conservazione:
Quelques coups
N° nelle opere di riferimento :
Diritto
Titolatura diritto : (FLEUR) ETABLISSEMENTS JACOB HOLTZER (FLEUR) // UNIEUX (LOIRE).
Descrittivo diritto : Au centre : 50c/..
Rovescio
Titolatura rovescio : (FLEUR) VALABLE SEULEMENT (FLEUR) / DANS NOS USINES.
Descrittivo rovescio : Au centre : 50C/..
Commento
Cette monnaie existe sans, avec une ou avec deux contremarques.
Jean-Jacques (Johann-Jacob) Holtzer dit Jacob Holtzer est un industriel français né à Klingenthal (Bas-Rhin), le 19 mars 1802 et mort à Unieux (Loire), le 9 janvier 1862.
« Son père, forgeur de lames de sabres et de baïonnettes (à la Manufacture d’armes de Klingenthal), lui faisait gagner au soufflet de sa forge les deux sous et la bûche de bois que l’enfant portait chaque mois au magister du village ; encore l’écolier était-il sous la dépendance du tireur de soufflet chaque fois que le travail l’exigeait[1]. » Il perd sa mère à 10 ans, son père trois ans plus tard. S’il quitte l’Alsace adolescent, il reste très attaché à sa petite patrie : il y revient, en effet, se marier, le 30 septembre 1827, à Heiligenstein et en 1859, il offre une cloche d’acier et une plaquette au temple de Klingenthal.
Pour la suite de cette passionnante biographie voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacob_Holtzer.
Jean-Jacques (Johann-Jacob) Holtzer dit Jacob Holtzer est un industriel français né à Klingenthal (Bas-Rhin), le 19 mars 1802 et mort à Unieux (Loire), le 9 janvier 1862.
« Son père, forgeur de lames de sabres et de baïonnettes (à la Manufacture d’armes de Klingenthal), lui faisait gagner au soufflet de sa forge les deux sous et la bûche de bois que l’enfant portait chaque mois au magister du village ; encore l’écolier était-il sous la dépendance du tireur de soufflet chaque fois que le travail l’exigeait[1]. » Il perd sa mère à 10 ans, son père trois ans plus tard. S’il quitte l’Alsace adolescent, il reste très attaché à sa petite patrie : il y revient, en effet, se marier, le 30 septembre 1827, à Heiligenstein et en 1859, il offre une cloche d’acier et une plaquette au temple de Klingenthal.
Pour la suite de cette passionnante biographie voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacob_Holtzer.