v45_0120 - EOLIA - MIRINA Tétradrachme stéphanophore
MONNAIES 45 (2010)
Prezzo di inizio : 750.00 €
Valutazione : 1 200.00 €
Prezzo realizzato : 750.00 €
Prezzo di inizio : 750.00 €
Valutazione : 1 200.00 €
Prezzo realizzato : 750.00 €
Tipo : Tétradrachme stéphanophore
Data: c. 150-140 AC.
Nome della officina / città: Éolide, Myrhina
Metallo : argento
Diametro : 34 mm
Asse di coniazione : 1 h.
Peso : 16,70 g.
Grado di rarità : R2
Commenti sullo stato di conservazione:
Exemplaire sur un flan très large, légèrement décentré au revers sur la couronne. Portrait de toute beauté. Revers à l’usure superficielle de style fin. Recouvert d’une très jolie patine grise superficielle avec des reflets dorés
N° nelle opere di riferimento :
Pedigree :
Cet exemplaire a été acheté à Genève en juillet 1975 et pourrait provenir du trésor de Khirikhan découvert en 1972 (CH.1/ 87 a et b = Seyrig, Trésors 23)
Diritto
Titolatura diritto : ANÉPIGRAPHE.
Descrittivo diritto : Tête d'Apollon Grynion laurée et diadémée à droite, les cheveux longs tombant sur le cou ; les mèches sont bien séparées.
Rovescio
Descrittivo rovescio : Apollon marchant à droite, tenant de la main droite un phiale, sacrifiant, et de la gauche une branche de laurier à laquelle sont suspendues deux bandelettes ; à ses pieds à droite, l'omphalos et une amphore ; dans le champ à gauche, monogramme ; le tout dans une couronne de laurier.
Legenda rovescio : MURINAIWN/ (HAW)
Traduzione rovescio : (des Myrhinéens).
Commento
Notre exemplaire appartient à une combinaison non recensée, en particulier au niveau du monogramme qui ne semble pas répertorié dans la monographie de Sacks en 1985. En revanche, notre exemplaire semble de même coin de droit que l’exemplaire du trésor de Ghonslé (1955), H. Seyrig, Trésors du Levant, pl. 28, n° 19/10 (Sacks 17/9c), lié à un nouveau coin de revers avec un monogramme inconnu. Mêmes coins que l’exemplaire de MONNAIES 36, n° 164. K. S. Sacks signalait dans son article, loc. cit., p. 22, note a que 28 tétradrachmes de Myrhina du trésor de Khirikhan qui ne furent pas pris en photos dont plusieurs exemplaires avec des identifications de monogrammes discutables. Notre exemplaire pourrait bien faire partie d’un tel lot.