fme_929328 - SECONDO IMPERO FRANCESE Médaille, L’archevêque Sibour
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Tipo : Médaille, L’archevêque Sibour
Data: 1857
Nome della officina / città: 75 - Paris
Metallo : ottone
Diametro : 23 mm
Asse di coniazione : 12 h.
Peso : 3,80 g.
Orlo : lisse
Marchio : sans poinçon
Commenti sullo stato di conservazione:
Patine hétérogène avec des taches d’oxydation. Présence de traces d’usure, quelques coups et rayures
Diritto
Titolatura diritto : M. DOM AUGUSTE SIBOUR ARCHQUE DE PARIS.
Descrittivo diritto : Buste à droit de l’archevêque tenant une crosse et un coeur saignant.
Rovescio
Titolatura rovescio : MARTYRISÉ / LE 3 JANVIER 1857 / DANS L’ÉGLISE / DE S. ETIENNE DU MONT / JOUR DE LA FÊTE PATRALE / DE STE. GENEVIEVE / PAR LE POIGNARD / D’UN FORCENÉ // MALEDIMUR ET BENEDICIMUS (S. PAUL AUX CORINTH. 4. 13).
Descrittivo rovescio : Légende en 9 lignes horizontales.
Commento
Marie Dominique Auguste Sibour, né à Saint-Paul-Trois-Châteaux (Drôme), le 4 août 1792, mort assassiné à Paris, le 3 janvier 1857, est un ecclésiastique français, évêque du diocèse de Digne (1840-1848) puis archevêque de Paris (1848-1857).
Il est poignardé en pleine église, à l'issue d'une cérémonie le 3 janvier 1857 par Jean-Louis Verger ancien curé, visiblement déséquilibré, et déjà sanctionné par l’Église. En plus d'avoir eu plusieurs problèmes avec les autorités religieuses (avant cette affaire) qui lui ont valu une série de sanctions, M. Verger avait déjà eu maille à partir avec la justice pour plusieurs affaires de vols ou de scandales sur la voie publique. Lors d'un précédent procès un médecin avait déclaré « Il a toute sa lucidité, mais c'est un homme dangereux ». Son procès, qui se conclura par sa condamnation et son exécution le 30 janvier 1857, donnera lieu à de nouveaux esclandres de la part du prévenu..
Il est poignardé en pleine église, à l'issue d'une cérémonie le 3 janvier 1857 par Jean-Louis Verger ancien curé, visiblement déséquilibré, et déjà sanctionné par l’Église. En plus d'avoir eu plusieurs problèmes avec les autorités religieuses (avant cette affaire) qui lui ont valu une série de sanctions, M. Verger avait déjà eu maille à partir avec la justice pour plusieurs affaires de vols ou de scandales sur la voie publique. Lors d'un précédent procès un médecin avait déclaré « Il a toute sa lucidité, mais c'est un homme dangereux ». Son procès, qui se conclura par sa condamnation et son exécution le 30 janvier 1857, donnera lieu à de nouveaux esclandres de la part du prévenu..