v41_1637 - VIVIERS (VIVARIA CIVITAS) - Ardèche Triens pour DAGOBERTVS REX
MONNAIES 41 (2009)
Prezzo di inizio : 1 800.00 €
Valutazione : 3 000.00 €
lotto invenduto
Prezzo di inizio : 1 800.00 €
Valutazione : 3 000.00 €
lotto invenduto
Tipo : Triens pour DAGOBERTVS REX
Data: 629-639
Nome della officina / città: VIVIERS
Metallo : oro
Diametro : 13,5 mm
Asse di coniazione : 6 h.
Peso : 0,97 g.
Grado di rarità : R3
Commenti sullo stato di conservazione:
Très bel exemplaire frappé sur un flan large et en bon or. Type de droit complet et centré, mais avec les légende en bord de flan ou sous un plat de frappe. Revers légèrement décentré avec les légendes incomplètes et difficilement lisibles
N° nelle opere di riferimento :
Diritto
Titolatura diritto : [DAGOBERT].
Descrittivo diritto : Buste diadémé, drapé à droite, légende autour.
Rovescio
Titolatura rovescio : (...) ?.
Descrittivo rovescio : Croix latine sur un degré accostée des lettres VI - VA dans un grènetis intérieur, légende autour.
Commento
Deux monnaies correspondent à cet exemplaire dont la légende est malheureusement mal venue. Avec ce style de droit et sans l’indication des VII silliques, notre triens est très proche du triens B. 4930 pour Chlothaire Rex et du triens B. 4935 pour Dagobert Rex (exemplaire n° 174 du Musée de Lyon).
Il est regrettable de ne pas avoir plus de collections publiées et photographiées ; la cassure de coin sous le menton aurait sans doute permis de rapprocher avec certitude ce triens à un autre du même coin.
Nous avons ici un monnayage imité des monnaies de Marseille pour la cité de Viviers, siège d'un Évêché depuis le IVe siècle. Sur certains triens, le poids est indiqué au revers dans le champ; il est de 7 siliques contre 8 pour un tremissis byzantin. Le solidus pesait 4 scrupules ou 24 siliques (4,51 g.). En Gaule, le poids du solidus avait été ramené à 21 siliques (3,94 g.). Au VIème siècle le commerce n'a pas cessé entre Byzance et la Gaule, les échanges sont différents, la monnaie circule moins bien. Le commerce maritime est entre les mains des "Syriens", commerçants du monde méditerranéen qui amènent dans la grande cité phocéenne les produits venant d'Orient.
Il est regrettable de ne pas avoir plus de collections publiées et photographiées ; la cassure de coin sous le menton aurait sans doute permis de rapprocher avec certitude ce triens à un autre du même coin.
Nous avons ici un monnayage imité des monnaies de Marseille pour la cité de Viviers, siège d'un Évêché depuis le IVe siècle. Sur certains triens, le poids est indiqué au revers dans le champ; il est de 7 siliques contre 8 pour un tremissis byzantin. Le solidus pesait 4 scrupules ou 24 siliques (4,51 g.). En Gaule, le poids du solidus avait été ramené à 21 siliques (3,94 g.). Au VIème siècle le commerce n'a pas cessé entre Byzance et la Gaule, les échanges sont différents, la monnaie circule moins bien. Le commerce maritime est entre les mains des "Syriens", commerçants du monde méditerranéen qui amènent dans la grande cité phocéenne les produits venant d'Orient.